Blog - Tennis
LES ANECDOTES SPORTIVES ET HISTORIQUES,
POUR BRILLER EN SOCIÉTÉ
Tennis
ANN WHITE, PLUS BLANC QUE BLANC ?
Nous avons en mémoire les tenues fluo d’André Agassi, les POLOs colorés du brésilien Kuerten ou encore la tenue de Serena Williams à l’US OPEN 2004 ! La palme de la tenue la plus insolite revient sans doute à Ann White qui a porté une tenue en lycra blanche (de la tête aux pieds) en 1985, lors du tournoi de Wimbledon.
La tenue était moulante et légèrement transparente. La légendaire Martina Navratilova avait aussitôt réagit : « Quand on ne peut pas attirer l’attention avec une raquette à la main, il faut bien utiliser autre chose » Sympa la copine !
QUI A DIT « ON NE BAT PAS
VITAS GERULAITIS 17 FOIS DE SUITE » ?
Vitas Gerulaitis, célèbre joueur de tennis des années 70, était réputé pour être un homme généreux et attachant. Il avait également le sens de l’humour et de l’autodérision, pour preuve, après avoir été battu 16 fois de suite par Jimmy Connors, il finit par vaincre ce dernier et lança : «Et que ce soit une leçon pour vous tous. Personne ne bat Vitas Gerulaitis 17 fois de suite, personne !»

CHAMPION DE TENNIS ET CHAMPION
DU MONDE DE PADDLE TENNIS !
Gael Monfils, tennisman français, est également champion du monde de Paddle-tennis, discipline dérivée du tennis très développée en Espagne et en Amérique du sud . Il s’était inscrit (après une limination prématurée d’un tournoi à Las Vegas) par hasard à la compétition en 2006 qu’il remporte !
QUI GAGNAIT À WIMBLEDON EN 1929 ?
Avec sa victoire à Paris et Forest Hills, Henri Cochet devient numéro un mondial en 1928, et le restera pendant trois années consécutives. Il triomphe une nouvelle fois à Wimbledon en 1929 puis à Roland Garros pour la troisième et quatrième fois en 1930 et 1932.

LA PREMIERE FINALE FRANÇAISE DE LA COUPE DAVIS
En 1925, après une victoire légendaire contre les australiens, la France dispute pour la première fois de son histoire, la finale de la coupe Davis contre les Etats-Unis.
A cette époque, les Français portaient, avant et après le match, une veste brodée d’un coq fièrement dressé sur deux anneaux entrelacés. En mémoire de ces premiers exploits tennistiques des mousquetaires, SPORTS D’EPOQUE a réalisé, en série limitée, un polo reprenant la broderie de ce coq majestueux.
QUI ÉTAIT SURNOMMÉE LA DIVINE ?
Suzanne Lenglen débute le tennis très jeune, entraînée par son père passionné de tennis et qui avait décidé de faire de sa fille une championne. En 1914, à 14 ans et demi, elle est championne du monde sur terre battue en battant en deux sets l’anglaise Golding. C’est le début d’une carrière exceptionnelle que la guerre de 14 vient interrompre momentanément.
Hormis l’année 1924 où elle est malade, Suzanne Lenglen dominera le tennis jusqu’en 1926. C’est alors que l’on commence à parler d’une rivale possible en la personne de la championne olympique de 1924, l’américaine Helen Wills. Âgée de 18 ans, déjà trois fois championne d’Amérique, elle vient en Europe au printemps 1926 pour défier celle que tout le monde surnomme « La Divine ».
Les deux jeunes femmes séjournent sur la côte d’azur pour les traditionnels tournois d'hiver. Après s'être soigneusement évitées pour mieux s'observer pendant quelques semaines, elles s'inscrivent enfin toutes deux au tournoi de Cannes. La rencontre tant attendue entre les deux joueuses a enfin lieu le 16 février 1926 sur le court de l'hôtel Carlton.
Le match, annoncé dans la presse, attire une foule considérable de passionnés. Les 3000 places sont toutes louées en une heure. Les gradins ont une faible capacité, ils sont archicombles et des spectateurs s’installent sur les toits des maisons environnantes. L'arbitre est le commandant Hillyard, secrétaire du club de Wimbledon et arbitre des finales féminines du tournoi londonien. Il est venu spécialement pour l'occasion, c'est dire si l'événement est d'importance !
Le spectacle est magnifique. Suzanne l’emporte 6-3 8-6. Les deux joueuses se donnent alors rendez-vous aux internationaux de France en juin. Ce sera finalement un rendez-vous manqué et le match joué à Cannes restera leur seule et unique rencontre. Entre temps, victime d’une crise d’appendicite, l’américaine doit finalement renoncer à toutes les compétitions pour le reste de l’année.